« Porteur de sens pour nos collaborateurs »

Dans ce second épisode, Frédéric Coirier, PDG de Cheminées Poujoulat, revient sur les vertus du livre, par rapport au digital, et évoque le sentiment de fierté éprouvé par les collaborateurs de l’entreprise lorsque le livre leur a été remis.

Un livre permet de poser un sujet, à un moment donné, mais aussi donner de la profondeur à une approche. Le digital c’est bien, mais ça passe vite. Lorsqu’on voit les réseaux sociaux, bien sûr, on dit qu’il y a de la mémoire numérique. Mais, on est dans l’ère de l’immédiat et de la communication permanente. La marque Poujoulat a évolué, mais elle a gardé ses fondamentaux. Ses moyens d’expression ont évolué. Même si, très tôt, nous sommes allés vers le consommateur par la presse, mais aussi par du sponsoring. Aujourd’hui, il y a du digital et de la télé. Le livre marque un moment précis, en plus d’être un bel objet.

« Un arrêt sur image »

Pour nous, il répond à la volonté de donner quelque chose que les clients, partenaires et salariés vont garder. Il est important aussi de pouvoir le faire au travers d’un livre qui va reprendre les images, les témoignages et les grandes étapes de la marque, même s’il y en aura beaucoup d’autres. Ce livre, c’est un arrêt sur image qui permet de retracer tout ce qui s’est passé sur les 50 dernières années et même les 70 dernières, si on remonte à M. Poujoulat.

« Un objet apprécié »

Le livre est un objet que les personnes apprécient. D’ailleurs, il ne s’est jamais vendu autant que cette année. C’est bien de le rappeler. Lorsque nous avons remis le livre à nos salariés qui, parfois, sont là depuis 30 ans ou 40 ans, cela a du sens pour eux. Et pour ceux qui viennent d’arriver, parce que nous avons beaucoup recruté au cours des dix dernières années, c’est aussi intéressant de pouvoir leur redonner un peu de profondeur et d’histoire de l’entreprise dans laquelle ils évoluent.