« Nous voulions que la remise du livre soit qualitative »

Dans cet avant-dernier épisode de notre podcast, qui revient sur les moments forts de la réalisation d’Envol, la belle aventure d’une marque française, nous avons demandé à Frédéric Coirier, PDG de Cheminées Poujoulat, de nous raconter la manière dont le livre a été perçu par les collaborateurs et partenaires de l’entreprise.

Ce livre étant un bel objet, nous avons voulu qu’il soit remis à la main aux clients, partenaires préférentiels et aux salariés français. C’est un principe que nous nous sommes donné. Évidemment, nous l’avons aussi adressé à quelques personnes, mais le principe est de le remettre à la main et de l’expliquer. En tout cas, notre souhait est de le mettre en scène. Nous l’avons remis à de nombreux partenaires lors du salon Batimat. Il a été extrêmement bien reçu de la part de nos interlocuteurs, qui ont manifesté un vif intérêt. Nous avons eu des retours et des témoignages, car le livre leur parlait. Ce n’est pas un objet courant ni classique, que ce soit dans son approche, par le biais de la marque ou dans la manière dont il est construit et illustré.

« Une culture du livre »

Le livre va vivre et aura une certaine pérennité, c’est clair. Peut-être faudra-t-il, d’ici quelque temps, le remettre à jour, le refaire ou le digitaliser. Mais ce format a un réel intérêt et c’est ce qui, à mon sens, lui donne toute sa valeur. D’ailleurs, ce n’est pas le premier que nous réalisons, mais les précédents se rapprochaient davantage d’un livre autour de nos produits. Il y a également eu deux grands livres qui ont été des étapes incroyables, parce que nous ne disposions pas, à l’époque, de supports agrégeant l’ensemble des savoirs et techniques. Nous avons aussi conçu un livre autour de nos métiers, afin de valoriser le savoir-faire de nos salariés. Au sein de Cheminées Poujoulat, nous apprécions cette culture du livre.